vendredi 6 mai 2016

La virtualisation informatique


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La virtualisation consiste à créer des images système de postes clients ou serveurs se trouvant sur un réseau local.
Une fois l'image enregistrée, sous la forme d'un fichier unique de type VDI ou VHD principalement, il est alors possible de faire démarrer la ou les machines virtuelles (MV ou VM en anglais) ainsi créées à partir d'un serveur tiers se trouvant lui aussi en local ou plus avantageusement dans le Cloud.
L'intérêt de cette technologie déjà ancienne et maintenant parfaitement fiable, outre de réduire sensiblement les coûts d'achat et de maintenance d'infrastructures matérielles lourdes, est de pouvoir faire coexister plusieurs systèmes sur une même machine hôte et de s'y connecter via un navigateur ou un logiciel de bureau à distance (TSE ou RDP) à partir d'un simple terminal connecté à Internet.
De plus, l'image unique intégrant système d'exploitation, applications et données peut être facilement sauvegardée, redondée et redéployée à volonté pour un plan de reprise d'activité (PRA) optimal en cas de problème logiciel ou matériel.
L'avenir sera virtuel, n'en doutons pas, et les machines physiques classiques telles que nous les connaissons encore aujourd'hui disparaîtront au profit de terminaux légers, "jetables" et interchangeables avec parallèlement des accès réseau de plus en plus rapides qui emprunteront les voies des fibres ou des airs à très très haut débit.
Ce sera le cas de façon généralisée d'ici maximum 10 ans d'après moi, aussi bien pour les particuliers que pour les entreprises qui n'auront à payer qu'un abonnement dont le montant correspondra à la dimension des ressources choisies.
Copyright Jean-Louis Maso 2016.

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Ce blog a été créé pour partager une vision de l'informatique de demain et des enjeux économiques et sociologiques de l'accès universel à l'information.
"Le pouvoir au peuple", cette utopie révolutionnaire mise à mal par l'effondrement des systèmes collectivistes et par les limites aperçues aujourd'hui au sein même des régimes dits modernes, Etats-Unis en tête, reprend un peu de couleurs grâce à Internet.
Churchill a encore raison, la démocratie est le pire des systèmes mais on n'a pas trouvé mieux... Le modèle Internet, poussé à son extrème, est le seul capable aujourd'hui de lui donner tort.
Voyons donc comment cela pourrait se passer dans les années à venir...