Mais n'est-ce pas Microsoft qui est une "valeur déclinante"...? Comme dans de nombreux rapports humains, n'est-ce pas l'accusateur qui repproche à sa victime ses propres défauts ? On peut légitimement se poser la question tant le modèle proposé aujourd'hui par la Méga-firme (produits lourds, peu stables... et chers, encore vendus en "boîte") semble éloigné des besoins et moyens des utilisateurs qui se tournent de plus en plus nombreux vers le monde ouvert de l'Open Source... et de Google.
L'informatique fait aujourd'hui partie de notre quotidien, visible et invisible, mais son utilisation reste parfois complexe, trop complexe pour la majorité des êtres humains, ceux qui n'y ont pas encore accès, de loin les plus nombreux, et les autres, dont la plupart restent impuissants face aux caprices de la machine. Qu'en sera-t-il demain ? De véritables défis doivent encore être relevés...
mardi 29 juillet 2008
"Yahoo est une valeur déclinante", dixit Christopher Liddell, directeur financier de Microsoft. Voudrait-on encore un peu plus dévaloriser sa proie chez le géant de Seattle ou réagit-on aux atermoiements incessants de moteur de recherche historique qui lutte contre son aspiration inéluctable, comme une étoile trop petite aux abords d'un trou noir...?
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Ce blog a été créé pour partager une vision de l'informatique de demain et des enjeux économiques et sociologiques de l'accès universel à l'information.
"Le pouvoir au peuple", cette utopie révolutionnaire mise à mal par l'effondrement des systèmes collectivistes et par les limites aperçues aujourd'hui au sein même des régimes dits modernes, Etats-Unis en tête, reprend un peu de couleurs grâce à Internet.
Churchill a encore raison, la démocratie est le pire des systèmes mais on n'a pas trouvé mieux... Le modèle Internet, poussé à son extrème, est le seul capable aujourd'hui de lui donner tort.
Voyons donc comment cela pourrait se passer dans les années à venir...
"Le pouvoir au peuple", cette utopie révolutionnaire mise à mal par l'effondrement des systèmes collectivistes et par les limites aperçues aujourd'hui au sein même des régimes dits modernes, Etats-Unis en tête, reprend un peu de couleurs grâce à Internet.
Churchill a encore raison, la démocratie est le pire des systèmes mais on n'a pas trouvé mieux... Le modèle Internet, poussé à son extrème, est le seul capable aujourd'hui de lui donner tort.
Voyons donc comment cela pourrait se passer dans les années à venir...
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