mercredi 15 novembre 2017

Windows 10 tient la route

Après moult atermoiements des utilisateurs et des professionnels, il faut se rendre maintenant à l'évidence après plusieurs mois d'utilisation et de recul : Windows 10 tient vraiment la route. Pour avoir personnellement connu, utilisé et donc testé toutes les versions des OS de Microsoft depuis MS-DOS 1.0, sa dernière version se révèle d'une stabilité et d'une robustesse jamais connues. Plus d'écrans bleus, plus de "roues" dans le vide, plus de démarrage forcé en mode sans échec, Windows 10 nous libére enfin de tous ces anciens tracas et nous permet de nous concentrer enfin sur notre seule productivité numérique sans devoir nous transformer en technicien de maintenance interrogeant sans cesse le moindre forum de résolution de problèmes. Alors rendons exceptionnellement hommage aux développeurs d'Atlanta qui ont su grandir et progresser à l'ombre des échecs de Millenium, Vista et autres versions 8 même si cette nouvelle fiabilité reste courante concernant les OS alternatifs...et gratuits.

samedi 9 septembre 2017

Le quantique comme une voie de plus en plus certaine

L'ordinateur quantique n'est plus un rêve mais une réalité en plein développement et c'est tant mieux. Adieu le binaire et les puces de silicium qui bientôt se heurteront au mur de Planck et bonjour les atomes hyper refroidis générateurs de qubits surpuissants et sans limite pour résoudre les mystères encore sans réponse et peut-être aider l'humanité à voir plus clair dans tous les domaines qui nous semblent aujourd'hui sans issue car si dieu ne joue toujours pas aux dés, l'incertitude admise de la matière commence à donner des résultats mathématiques impressionnants.
https://www.developpez.com/actu/158025/Une-equipe-de-scientifiques-russo-americaine-presente-le-premier-ordinateur-quantique-a-51-qubits-il-depasse-largement-les-prototypes-precedents/

mercredi 26 juillet 2017

Des qubits à la portée de tous.

Depuis des années, Google consacre du temps et d’importantes ressources financières afin de concrétiser l’un des rêves les plus ambitieux autorisés par la technologie moderne : la construction d’un ordinateur quantique viable. Grâce aux progrès qu’elle a réalisés dans ce domaine, la société envisage, désormais, les différents moyens de transformer son projet en un business rentable. Les ordinateurs quantiques sont censés résoudre des problèmes que les ordinateurs traditionnels ne peuvent pas gérer. Contrairement aux ordinateurs traditionnels, qui traitent des parties de l’information en tant que données binaires sous forme de 1 ou de 0, les ordinateurs quantiques fonctionnent avec les qubits.

D’après des données publiées par Bloomberg, Google serait sur le point de démarrer la commercialisation des ordinateurs quantiques et tout porte à croire qu’ils seront proposés sous forme de service « cloud computing » (informatique dématérialisée) extrêmement puissant. La firme de Mountain View aurait offert aux laboratoires scientifiques et aux chercheurs en intelligence artificielle un accès précoce à ses machines quantiques au travers d’Internet durant ces derniers mois. Google souhaitait ainsi encourager le développement d’outils et d’applications compatible avec sa nouvelle technologie qu’elle voudrait également transformer en un service de cloud computing plus rapide et plus puissant.


Dans son article, le média Bloomberg fait allusion à deux présentations de Google. L’une détaillerait le matériel quantique de la société, y compris le nouveau laboratoire de l’entreprise dédié à cette technologie baptisé « Embryonic quantum data center ». La seconde présentation détaillerait le ProjectQ de Google qui a été mis en place afin d’inciter les développeurs à écrire du code pour son ordinateur quantique.

Fournir un accès rapide et gratuit à un matériel hautement spécialisé dérivé des technologies de pointe afin de susciter un intérêt croissant s’inscrit dans la stratégie à long terme de Google qui vise l’extension de son activité cloud. En mai, la filiale d’Alphabet a présenté une puce, appelée Cloud TPU, qu’elle compte louer à des clients à la recherche de systèmes informatiques dématérialisés. En parallèle, l’entreprise a prévu d’accorder à un nombre restreint de chercheurs universitaires l’accès gratuit aux fonctionnalités de ses nouvelles puces.

Google et un nombre croissant d’autres entreprises comme IBM, Microsoft, SoftBank Group Corp. ou Star-D-Wave Systems Inc. sont convaincues que les ordinateurs quantiques et leurs applications vont révolutionner le monde de l’informatique de demain en accélérant exponentiellement le traitement de certaines tâches importantes. Il faut rappeler que c’est en 2014 que Google fait part de ses ambitions sur le développement de ses propres ordinateurs quantiques. Plus tôt cette année, l’entreprise technologique déclarait qu’elle comptait prouver la « suprématie » des systèmes quantiques sur les superordinateurs existants d’ici la fin de 2017.

Les ordinateurs quantiques sont des machines encombrantes qui nécessitent des soins particuliers pour rester fonctionnelles comme l’usage de systèmes de refroidissement avancés. Ils sont donc plus susceptibles d’être loués et utilisés à travers Internet plutôt que d’être achetés. Le fondateur de la startup quantique Rigetti Computing, Chad Rigetti, considère cette technologie comme un élément déterminant pour l’avenir. Toutefois, il estime que « cette industrie en est encore à ses balbutiements » et que « personne n’a, pour l’instant, construit un ordinateur quantique qui fonctionne ».

https://www.developpez.com/actu/150911/Google-veut-livrer-ses-ordinateurs-quantiques-sous-forme-de-services-de-cloud-computing-et-encourage-le-developpement-d-applications-dediees/

jeudi 23 mars 2017

Les concepts informatiques qui seront les plus utiles pour l'avenir.

Le machine learning, Le cloud computingLa virtualisation des systèmes, La virtualisation des applications, Le DevOps, La réalité virtuelle et la réalité augmentée, L’internet des objets.
https://systeme.developpez.com/actu/123386/Quels-concepts-informatiques-estimez-vous-les-plus-utiles-en-2017-Et-pourquoi/

samedi 11 février 2017

Quel avenir informatique ?

Résultat de recherche d'images pour "futur informatique"La vente de PC dégringole pour la première fois de sa courte histoire, le marché des smartphones sature, celui des tablettes résiste un peu tandis que les objets connectés ne se vendent pas vraiment à la hauteur de ce que tous attendaient, Apple en tête avec sa montre trop chère qui fait pschitt. Alors vers quoi allons-nous ? Sur quels leviers l'industrie du numérique pourra-t-elle compter dans un avenir plus ou moins proche ? Elle peut d'ores et déjà se reposer sur les data centers, bien sûr, le tout Cloud et le SaaS, le Web 3.0 et bientôt 4.0 qui aspirent peu à peu les ressources locales par la double montée en puissance de la vitesse des connexions réseaux et de la maturité enfin reconnue de la virtualisation. HP et Microsoft l'ont bien compris en proposant déjà des offres complètes et diverses de bureaux à distance et de machines hébergées. Le DaaS (Device as a Service) existe bien aujourd'hui, alternative crédible à l'achat de matériels lourds et difficiles à maintenir avec la garantie d'une continuité d'activité, et non plus d'une reprise plus ou moins longue, en cas de moindre panne ou d'attaque virale. À moyen terme, on peut penser que le relai sera pris par l'intelligence artificielle qui promet de tels bouleversements de productivité qu'il serait bon de s'y préparer dès aujourd'hui au risque de voir le marché du travail une fois de plus peiner pour s'y adapter. Enfin, d'ici une ou deux décennies, ne doutons pas que l'ordinateur quantique nous permettra d'envisager d'autres voies, économiques, politiques et scientifiques, capables de nous éloigner de nos vieux réflexes grégaires, capitalistes et conservateurs.

dimanche 29 janvier 2017

La France leader de la cryptologie avec Prim'X

Résultat de recherche d'images pour "cryptographie"La Russie qui pirate les Etats-Unis, les États-Unis qui piratent le monde entier, y compris eux-mêmes, et la France qui regarde tout ça avec le détachement de ceux qui ont pris de l'avance. En effet, depuis de nombreuses années, grâce à la société Prim'X auquel il a fait (justement) confiance, le gouvernement français et toutes ses entités se retrouvent protéger par les algorithmes de cryptologie les plus avancés de la planète. Alors goûtons pour une fois notre supériorité.
http://www.lepoint.fr/high-tech-internet/cryptologie-la-start-up-francaise-que-tout-le-monde-s-arrache-24-01-2017-2099588_47.php#xtor=RSS-292

dimanche 22 janvier 2017

Pour quel bureau virtuel êtes-vous fait ?

Résultat de recherche d'images pour "bureau virtuel windows 10"Source Dell TechPageOne.
La virtualisation du poste de travail a de multiples facettes. Du VDI traditionnel au Workspace-as-a-Service, découvrez quel bureau virtuel est fait pour vous.
Coûts réduits, administration simplifiée, sécurité renforcée, mobilité accrue, la virtualisation du poste de travail a tous les avantages. Mais pour en profiter, il existe plusieurs techniques de mise en œuvre avec chacune ses spécificités. Explications.
La forme traditionnelle du VDI (Virtual Desktop Infrastructure) consiste à héberger le poste complet (système d’exploitation et applications) dans le datacenter. L’exécution du poste virtuel est réalisée de façon centralisée. Côté utilisateur, le device n’est qu’un point d’accès réseau pour exploiter l’environnement virtuel à distance. L’appareil utilisé importe donc peu. Il peut s’agir d’un PC traditionnel, d’un client léger ou même d’un terminal mobile.
Le streaming est quelque peu différent du VDI. Si le système d’exploitation et les applications sont toujours hébergés dans le datacenter, ces derniers vont être envoyés par segment sur le poste client qui va les exécuter localement. Une application n’a généralement pas besoin de 100 % de son code pour fonctionner. De la même manière que pour une vidéo en streaming, le serveur ne va donc envoyer dans un premier temps sur le poste que le strict minimum nécessaire pour faire fonctionner le système et tourner l’application. Au fur et à mesure que le travail de l’utilisateur avancera et qu’il fera appel à davantage de fonctions, le serveur enverra des éléments supplémentaires. L’opération est transparente et optimise l’usage de la bande passante.
La virtualisation de présentation va permettre de centraliser l’exécution d’une application sur un serveur et de déporter l’affichage sur le poste client. Le principal avantage de cette méthode est qu’une même application peut être partagée par un grand nombre d’utilisateurs, ce qui facilite sa gestion. Les ressources nécessaires à la mise en place sont également limitées. Cette méthode peut néanmoins être difficile à utiliser avec des applications héritées (ou « legacy ») en raison de fréquentes incompatibilités entre les solutions de virtualisation et le code développé en interne par les entreprises.
Aussi appelé Desktop-as-a-Service, il s’agit d’un portage de la technologie VDI dans le cloud. Pour l’utilisateur, le principe est le même. Il se connecte à son environnement de travail hébergé sur un serveur distant. Pour l’équipe informatique en revanche, les deux approches sont fondamentalement différentes. Car qui dit cloud, dit externalisation de la gestion. L’installation de l’infrastructure, le déploiement du socle logiciel, l’administration des machines virtuelles, tout cela est confié au fournisseur de service cloud. La DSI agit comme chef d’orchestre et laisse le soin à son partenaire d’utiliser les instruments en respectant la partition. Les utilisateurs eux, n’ont plus qu’à profiter de la musique. Le WaaS constitue donc une véritable opportunité pour les entreprises d’offrir à leurs salariés un environnement de travail moderne tout en allégeant la charge de travail qui incombe aux équipes IT. L’utilisation du cloud peut néanmoins être un frein dans les secteurs aux contraintes réglementaires fortes, comme la finance ou la santé.
Ce blog a été créé pour partager une vision de l'informatique de demain et des enjeux économiques et sociologiques de l'accès universel à l'information.
"Le pouvoir au peuple", cette utopie révolutionnaire mise à mal par l'effondrement des systèmes collectivistes et par les limites aperçues aujourd'hui au sein même des régimes dits modernes, Etats-Unis en tête, reprend un peu de couleurs grâce à Internet.
Churchill a encore raison, la démocratie est le pire des systèmes mais on n'a pas trouvé mieux... Le modèle Internet, poussé à son extrème, est le seul capable aujourd'hui de lui donner tort.
Voyons donc comment cela pourrait se passer dans les années à venir...