Alphabet (maison mère de Google) déçoit en bourse au premier trimestre avec une baisse du coût par clic.
La hausse du revenu publicitaire du géant de l'Internet a largement été tirée par un bond de 30% du nombre d'annonces, tandis que leur prix moyen a reculé de près de 10%. Le chiffre d'affaires a progressé pour sa part de 17% à 20,3 milliards de dollars...quand même. Ceci s'explique par le fait que Google n'impose aucun prix à ses fameux clics. Ce sont les annonceurs qui par leurs enchères font monter ou baisser le prix des mots clés qui les intéressent suivant qu'ils sont plus ou moins nombreux à acheter les mêmes.
La hausse du revenu publicitaire du géant de l'Internet a largement été tirée par un bond de 30% du nombre d'annonces, tandis que leur prix moyen a reculé de près de 10%. Le chiffre d'affaires a progressé pour sa part de 17% à 20,3 milliards de dollars...quand même. Ceci s'explique par le fait que Google n'impose aucun prix à ses fameux clics. Ce sont les annonceurs qui par leurs enchères font monter ou baisser le prix des mots clés qui les intéressent suivant qu'ils sont plus ou moins nombreux à acheter les mêmes.
Les sommets atteints sur les mots clés les plus concurrentiels ont vu les budgets communication des grands groupes exploser à plusieurs millions d'euros par mois de redevances payées à Google durant les périodes stratégiques, en particulier en fin d'année et en périodes de soldes.
Tout ce petit monde s'est calmé dans un climat de cessez-le-feu guerrier et les prix se sont naturellement réduits suivant la même logique qu'une salle de marché.
On peut donc conclure en constatant qu'une mini bulle du clic a explosé compensée par l'arrivée de nouveaux annonceurs aux moyens moins importants attirés par des prix enfin raisonnables.
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