Steve Jobs tousse et c'est la Pomme qui s'enrhume ! Après l'annonce d'une rechute éventuelle du fondateur d'Apple, déjà atteint d'un cancer tenu secret il y a quelques années, l'action de la firme de Cupertino tremble. Il ne s'agirait en fait que d'un mauvais... virus. Cela reste très normal dans le milieu.
Pourtant, cet épisode a permis de réfléchir à la pérennité d'Apple en l'absence de son fondateur historique, celui qui après avoir été viré avec fracas est revenu sauver le bébé, avec l'iPod bien sûr, et puis de nouveau des belles machines aériennes comme l'iMac, après les bonbons acidulés des années 2000, et encore l'OS X issu du monde UNIX, et maintenant l'iPhone.
Alors oui, on peut réellement se poser la question. Même si je crois que l'avenir d'Apple est assuré avec ou sans lui, grâce à sa singularité - une machine et un système d'exploitation créés par la même firme - qui lui permet de se démarquer du modèle Windows certainement en fin de vie au regard des attaques du monde Open Source et de la lassitude des utilisateurs envers le mépris du géant... et de ses tarifs.
L'informatique fait aujourd'hui partie de notre quotidien, visible et invisible, mais son utilisation reste parfois complexe, trop complexe pour la majorité des êtres humains, ceux qui n'y ont pas encore accès, de loin les plus nombreux, et les autres, dont la plupart restent impuissants face aux caprices de la machine. Qu'en sera-t-il demain ? De véritables défis doivent encore être relevés...
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Ce blog a été créé pour partager une vision de l'informatique de demain et des enjeux économiques et sociologiques de l'accès universel à l'information.
"Le pouvoir au peuple", cette utopie révolutionnaire mise à mal par l'effondrement des systèmes collectivistes et par les limites aperçues aujourd'hui au sein même des régimes dits modernes, Etats-Unis en tête, reprend un peu de couleurs grâce à Internet.
Churchill a encore raison, la démocratie est le pire des systèmes mais on n'a pas trouvé mieux... Le modèle Internet, poussé à son extrème, est le seul capable aujourd'hui de lui donner tort.
Voyons donc comment cela pourrait se passer dans les années à venir...
"Le pouvoir au peuple", cette utopie révolutionnaire mise à mal par l'effondrement des systèmes collectivistes et par les limites aperçues aujourd'hui au sein même des régimes dits modernes, Etats-Unis en tête, reprend un peu de couleurs grâce à Internet.
Churchill a encore raison, la démocratie est le pire des systèmes mais on n'a pas trouvé mieux... Le modèle Internet, poussé à son extrème, est le seul capable aujourd'hui de lui donner tort.
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